Méli-mélo de vos derniers visionnages

B.A.T (bon à tirer)
des Frères Farelly

Hall Pass en anglais, mais saluons le jeu de mot qui a dû coûter pas mal de brainstorming. J'aime beaucoup les frères Farelly et même leurs derniers films ont réussi à me toucher, mais là j'avoue une part d'incompréhension. La première partie est bonne, pointant les défauts de deux potes de longues date, respectivement mariés et pour qui le sexe est devenu une obsession. La description des couples est pas mal vue et le postulat de départ prétexte à une série de situations bien vues et souvent très drôles, les frangins n'hésitent pas à incorporer du graveleux comme à leur habitude (mais moins). La deuxième partie est par contre très longue, accumulant les scènes sans surprise et plutôt frustrante. Les comédies des Farrelly ont toujours été des sortes de leçons sur la vie, que ce soit au départ sur la tolérance ou plus tard sur le couple (ou les deux ensemble), mais Hall Pass le fait de manière automatique et on peut dire qu'arrivé aux trois quart du film, il ressemble à n'importe quelle comédie romantique récente et le peu d'excès frustre encore plus (la scène dans l'hôtel avec la gamine, complètement nawak). On accumule platement les péripéties déjà vues au ciné ou bien dans des séries et on s'attarde sur des personnages aux situations/réactions similaires et qui se prennent quand même vachement au sérieux. Les acteurs ne sont pas mauvais, et puis y'a Christina Applegate mais en coupant une bonne demi heure de film dans la deuxième partie (mauvaise influence d'Appatow?), ç'aurait été bien meilleur.

3/6

Make-Out With Violence aka Zombie Lover de Deagol Brothers .

Malgré quelques longueurs, un film de zombie atypique qui, à mon avis, renouvelle le genre. Les inconditionnels de gros gore qui tache risquent cependant d'être déçus.

4/6

The Tree of Life
de Terence Malick

Etrange expérience que ce film, collage d'instantanés et d'impressions qui poussent à son paroxysme le style que Malick avait développé précédemment avec parcimonie. Là ce ne sont pas des passages, mais tout le film qui est à fleur de peau, baigné dans les points de vue de ses personnages, révélant leur solitude face au monde dans de courts monologues intérieurs. Sur plus de la moitié du film, particulièrement sur la partie qui raconte l'enfance du fils, la recette fonctionne du tonnerre. Cette enfance nous est livrée telle quelle, dans ses beaux moments puis ceux qui présagent du pire. Malick arrive à transmettre des sentiments intenses, difficilement exprimables par des mots et à magnifier le quotidien. Mais il n'hésite pas non plus à verser dans l'abstraction dans de longues séquences regroupant des images très belles mais dont la difficulté de saisir le sens (ou de le ressentir au niveau émotionnel) vient parasiter ce qu'il a réussi par ailleurs. Ces parties du film étaient bien chiantes, limite autistes, mais on peut au final les oublier pour ne conserver que le meilleur.

4/6

Dead Silence de James Wan (2007)
Un film d’horreur tourné avec talent, au rythme soutenu, au scénario solide et qui arrive à vous mettre mal à l’aise avec des effets simples mais efficaces.

4,5/6

I Am Number Four aka Numéro Quatre de D.J. Caruso (2011)
De la science-fiction certes un peu hollywoodienne mais qui procure une bonne distraction. Daniel John Caruso Jr. a longtemps réalisé des films et des séries pour la télévision américaine, cela s’en ressent un peu. D’ailleurs, un message d’appel intergalactique pour une suite ( I Am Number Five ?) est très nettement envoyé sur les dernières images.
4/6

Duo Shuai aka Fatal Move de Dennis S. Y. Law (2008)
Le port parfumé nous a encore fait une histoire sur les triades avec plein de méchants. Le scénario assez banal est, heureusement, gonflé par les bonnes scènes de combat. Mon capital sympathie pour Sammo Hung Kam-Bo et Simon Yam a réussi, cependant, à octroyer la moyenne à ce film.
3/6

Prytwen a écrit:I Am Number Four aka Numéro Quatre de D.J. Caruso (2011)
De la science-fiction certes un peu hollywoodienne mais qui procure une bonne distraction. Daniel John Caruso Jr. a longtemps réalisé des films et des séries pour la télévision américaine, cela s’en ressent un peu. D’ailleurs, un message d’appel intergalactique pour une suite ( I Am Number Five ?) est très nettement envoyé sur les dernières images.
4/6

Je viens de le voir aujourd'hui et c'est vrai qu'il n'était pas déplaisant...

Very Bad Trip 2
de Todd Phillips

Le premier transposé à Bangkok, un quasi remake tant les situations, les réactions, les personnages, l'enchaînement des événements, jusqu'aux scènes sont similaires au premier film. C'est donc toujours nos trois compères qui se retrouvent perdus à Bangkok (tant mieux, car le capital sympathie du groupe a fait beaucoup pour le premier film) en ayant tout oublié de leur nuit et ils découvrent au fur et à mesure toutes leurs casseroles, le perso de Justin Bartha est toujours relégué, Ken Jeong est toujours là avec ses mauvais plans et on a même droit au même caméo que le premier. On a donc la surprise en moins, mais comme toute la variation est jouée sur Bangkok, les spécificités locales nous offrent assez de choses pour justifier ce second opus et faire sourire, voire plus (le singe qui deale sur Superfly), et même s'aventurer sur du plus graveleux (le classique coup du trans entre autres choses). Dommage qu'il n'y ait pas eu un effort pour s'éloigner un peu du shéma du premier et qu'il n'y ait pas Heather Graham (Stu reste quand même le veinard de service avec une future femme qui est bien mignonne), mais en l'état ce very bad trip 2 reste une bonne comédie.

4/6

Lovely Bones de Peter Jackson.
Moche, cul-cul et con-con, j'ai décidément bien du mal avec le Peter Jackson post-Fantômes contre Fantômes.
Et puis la coupe de Marc Wahlberg

Les Anges de Boston 2 de Troy Duffy.
Autant le premier était plus que fort sympathique dans la vague de films "cool" à la Tarantino avec des effets pour la plupart justifiés et un Willem Dafoe en flic grande folle, autant ce deuxième volet est à la ramasse sur tous les plans.
Décalque maladroit du premier, effets à côté de la plaque, un Sean Patrick Flanery gonflé à la cortisone (à tel point que j'ai d'abord cru qu'il n'avait pas rempilé pour le rôle et qu'ils avaient dégoté un sosie foireux) et un caméo de Peter Fonda avec l'accent "italien" font que là où le premier passait, le second se casse la gueule dans les grandes largeurs.
Pire que du Guy Ritchie.

Bottom Live 1 - The Stage Show
C'est toujours très rigolo.
Voilà, voilà.
On retrouve la même énergie que dans la sitcom voire même plus, les acteurs pouvant ici insulter le public ou laisser dans son caca l'autre qui a un trou de mémoire.

T'es dur avec Peter!!!!


Non film de quentin Dupieux:


bah........euh.... y'a un film ici???

je me pose même pas la question de savoir si j'ai aimé ou non, j'en sais rien...

Certains l'ont vu?? Je veux des impressions!!

Le Village Des Ombres aka The Village Of Shadows de Fouad Benhammou [2010]
Un scénario classique mais prenant. Le réalisateur a trop tourné de scènes nocturnes, sans doute pour renforcer les sentiments de peur et de mystère, et les acteurs principaux manquent de métier. Christa Theret, dont on semble faire grand cas, ne m’a pas du tout impressionné. Avec son premier long métrage, Fouad Benhammou se classe dans les réalisateurs à suivre.
4/6

Les trucs à voir que si vraiment...

Deu Suay Doo aka Raging Phoenix de Rashane Limtrakul [2009]
D’assez beaux combats mais l’intrigue est médiocre et sa tentative d’originalité n’arrange rien.
1/6
L'île - Les Naufragés De La Terre Perdue aka The Island de Olivier Boillot [2011]
Les ingrédients étaient alléchants mais la sauce n’a pas pris.
0,3/6
Two Tigers de Sandro Cecca [2007]
De longues périodes d’ennui émaillées de scènes qui se veulent sexy.
0,2/6

X Men : First Class
de Matthew Vaughn

Je m'attendais à quelque chose d'un peu plus surprenant et de moins dense. Là on expédie un paquet d'événements en un seul film, certains traités comme des passages obligés, peu mis en valeur (l'"accident" de Xavier) et d'autres moins nombreuses ont un certain impact. Il y'a aussi pas mal de maladresses, mais Vaughn réussit quand même le meilleur X Men depuis le premier. Les personnages sont bien gérés, leurs interactions sont bonnes et on sent qu'il y'a un effort pour les faire bosser en équipe dans les scènes d'action. Jennifer Lawrence crève l'écran, Michael Fassbender est parfait en pré-Magneto, les autres se débrouillent plutôt bien (je parle du clan de Xavier parce que ceux de Shaw :/ ). Et puis le contexte historique est bien exploité, ce qui est particulièrement réjouissant.

4/6

Vanishing On 7th Street aka L'empire Des Ombres de Brad Anderson [2010]
Une idée très intéressante mais un film qui s’essouffle vite jusqu’à une fin qui ne clôt rien. Le scénariste Anthony Jaswinski semble avoir eu une illumination mais les piles se sont vite déchargées. Hayden Christensen y joue le rôle de Luke, ça change de celui d’Anakin.
3/6

Attack Force de Michael Keusch [2006]
Je devrai, peut-être, garder mon stock de DTV avec Steven Seagal pour mon proche avenir sénile. Enfin, c’est éducatif : On apprend que Bastia est un petit village près de Bordeaux et que pour s’y rendre, en venant de Paris, on emprunte l’autoroute 88, direction Caen. Le fait que les producteurs aient décidé, pendant le tournage, de changer les méchants aliens en vilains drogués explique, peut-être, partiellement le résultat. Tout de même ! 12 millions de dollars pour ça !
0,3/6

The Terror Experiment aka Fight Or Flight aka Piège De Verre de George Mendeluk [2010]
Médiocrité et platitude sont à l’affiche. Le héro du film, un virus, a dû un peu attaquer le réalisateur.
1,8/6

Ichi aka Ichi, La Femme Samouraï de Fumihiko Sori [2008]
Un film maitrisé sous tous rapports. Cette Zatoichi au féminin regrette, certes, son handicape (Elle ne sait jamais ce qu’elle coupe !) mais est capable de nous guider dans son aventure, au rythme soutenu, pleine de fureur et de sentiments. Le scénario est enrichi d’un bon nombre de personnages, plus ou moins importants, qui ont chacun leur intérêt. Deux petits bémols, peut-être, le rire sardonique dont le grand méchant de l’histoire ponctue presque chacune de ses phrases et le titre français qui donne l’appellation de samouraï à toute personne portant un katana. Un film de sabre qui ne déroge en rien aux grands classiques du genre.
5/6

Season Of The Witch aka Le Dernier Des Templiers de Dominic Sena [2011]
Une histoire un peu simplette mais agréable. Une belle image. Nicolas Cage n’a pas une coiffure ridicule. Ron Perlman incarne parfaitement son rôle comme d’habitude et Claire Foy est à croquer. Le titre français, comme souvent, n’a rien à voir avec la spécialité régionale alsacienne à base de chou. Un bon moment d’aventure médiévale pour jeune idéaliste ou vieux qui ne veut pas grandir.
4,5/6

Paul :

Une petite comédie sympathique, mais loin d’être hilarante avec des gags sur des geeks, pour les geeks, le film se repose principalement sur le duo bien rodé Simon Pegg/Nick Frost, l’extraterrestre du titre est plutôt sympa, mais malgré quelques bonnes idées, on comprend vite que pour être surpris, il faudra aller voir ailleurs.
3/6.

Casablanca :

Enfin, je vois ce film en entier et sur un superbe Blu-Ray, tout est déjà connu, c'est une superbe histoire d'amour et pas que, une belle histoire sur fond de guerre dans un pays qui s’éloigne du conflit et permet d'avoir le recul nécessaire pour que les hommes puissent faire leur choix dans ce contexte unique.
6/6.

Les hommes du président :

Et je continue a rattraper des classiques, dans un Blu-Ray, moyen cette fois ci.
Et si c'était parfois dur de garder son sérieux devant les aventures de Peter et Steven de la Classe américaine, heureusement, le thriller politique que propose le film est assez solide pour passer outre cette référence, le film à la bonne idée de nous faire une école du journaliste d'investigation illustré en nous relatant comment se monte un scoop et à quoi ce genre de révélations énormes ne tient à rien, du flair et de bons mots choisis au bon moment, le fait de stopper le film avant la confirmation de toute l’enquête montré, permet d'une part d'éviter la redite mais aussi d'appuyer cet aspect d’excitation que peut ressentir le journaliste de mettre le doigt sur quelque chose d'énorme et le danger que cela amène.
5/6.

Gone Baby Gone :

Après avoir déjà vu The Town, ça se confirme pour moi, Ben Affleck est bien meilleur cinéaste qu'acteur, bien qu'il n'a encore rien proposé d'exceptionnel, pour l'instant, c'est du solide, adapté d'un roman de Dennis Lehane, on suit l'histoire d'un détective privé, Casey Affleck, toujours impeccable qu'on a engagé pour chercher de nouvelles sources sur l’enlèvement d'une petite fille, car plus le temps passe, moins on a de chances de la retrouver vivant, ça sera l'occasion de faire un tour dans l'univers des junkies de Boston et leur quotidien pas très reluisant, junkies reliés à la mère de la petite, on comprend pendant l’enquête qu'il y a des choses qui ne tournent pas rond, le tout confirme sur la fin par une sorte de twist pas forcément bien amené, j'ai du mal avec cet aspect de l'histoire, mais il permet de proposer un choix intéressant, Affleck se pose en narrateur neutre et laisse le spectateur se confronter à sa conscience, ça rattrape de loin les grosses ficelles précédentes et laisse un sentiment final amer ou l'on continue à interroger.
4/6.

sutter cane a écrit:
Gone Baby Gone :

Après avoir déjà vu The Town, ça se confirme pour moi, Ben Affleck est bien meilleur cinéaste qu'acteur, bien qu'il n'a encore rien proposé d'exceptionnel, pour l'instant, c'est du solide, adapté d'un roman de Dennis Lehane, on suit l'histoire d'un détective privé, Casey Affleck, toujours impeccable qu'on a engagé pour chercher de nouvelles sources sur l’enlèvement d'une petite fille, car plus le temps passe, moins on a de chances de la retrouver vivant, ça sera l'occasion de faire un tour dans l'univers des junkies de Boston et leur quotidien pas très reluisant, junkies reliés à la mère de la petite, on comprend pendant l’enquête qu'il y a des choses qui ne tournent pas rond, le tout confirme sur la fin par une sorte de twist pas forcément bien amené, j'ai du mal avec cet aspect de l'histoire, mais il permet de proposer un choix intéressant, Affleck se pose en narrateur neutre et laisse le spectateur se confronter à sa conscience, ça rattrape de loin les grosses ficelles précédentes et laisse un sentiment final amer ou l'on continue à interroger.
4/6.

Oui, bonne adaptation de Lehane d'un bouquin pas si évident à porter à l'écran. Je te conseille vivement la série Kenzie/Gennaro de laquelle Gone baby Gone est adaptée si tu t'y es pas encore mis (c'est le quatrième bouquin de la série mais le spoil ne gâche pas le plaisir) .

Le Ciel, Les Oiseaux, ...Et Ta Mère ! aka Homeboys On The Beach de Djamel Bensalah
Encore une histoire de pauvres jeunes de banlieue incompris et rejetés. On sourit une ou deux fois mais c’est relou et la morale nazebroque.
1/6

Priest de Scott Stewart [2011]
De la science-fiction post-apocalyptique, adaptée a priori très librement d’un manhwa de Hyung Min-woo, que j’ai trouvé réussie. Le propos est simple mais efficace et la macédoine westerno-vampiro-mystiquo-cyberpunk est goûteuse. Une fin ouverte nous laisse espérer une suite dont je serai client.
4,5/6

The Mechanic aka Le Flingueur de Simon West [2011]
Un classique film de tueurs bien troussé mais sans grande surprise. Jason nous fait sa tête de Statham. Simon West semble décidément un psychopathe de la grosse explosion.
3,5/6

Cross de Patrick Durham [2011]
Le premier film de Patrick Durham et pour le bien de l’humanité, je l’espère, le dernier. Rien à sauver sauf Susie Abromeit comme sujet extrêmement décoratif.
0,1/6

Slaughterhouse-Five aka Abattoir 5 de George Roy Hill [1972]
D’après un roman de science-fiction, paru en 1969, de l’écrivain américain Kurt Vonnegut Jr. ayant pour titre "Slaughterhouse Five Or The Children's Crusade", œuvre largement autobiographique sur ses souvenirs de la Seconde Guerre mondiale. Antimilitarisme, critique acerbe du mode de vie américain et négation du continuum espace-temps font de ce film, au rythme forcement atypique, une curiosité intéressante. A noter les multiples références au Magicien D’Oz.
5/6

Proie aka La Traque d’Antoine Blossier [2010]
Pour un premier long métrage et avec peu de moyen, Antoine Blossier réalise un survival horrifique sur fond écologique qui tient la route du début jusqu’à la fin. Erich Vogel, ancien critique pour Mad Movies, débute également puisqu’il cosigne, avec Blossier, son premier scénario. Ce Razorback à la française a été présenté au 18ème Festival International du Film Fantastique de Gérardmer.
4/6

Le Fils À Jo de Philippe Guillard [2010]
Philippe Guillard, ancien trois-quarts aile gauche au Racing club de France réalise son premier film sur un sujet qu’il connait bien : Le rugby. Des difficultés à rentrer dans ce film que je trouvais par trop caricatural puis petit à petit, l’empathie jouant, cette bande de losers rugbymans m’a fait faire une sympathique promenade dans leur cambrouse. Darren Adams, ancien All Black, y fait ses premières passes cinématographiques.
3,5/6

Fritt Vilt III aka Cold Prey III de Mikkel Brænne Sandemose [2010]
Ce n’est pas un mauvais survival mais le scénario est d’un tel classicisme qu’il n’apporte rien au genre. Il faut attendre 87 minutes, soit deux minutes avant le générique, pour lever un sourcil d’étonnement. Pour son premier film, Mikkel Brænne Sandemose manque singulièrement d’originalité. Et puis, un Cold Prey sans neige, c’est un peu comme du Coca sans bulle.
2/6

Vampires de Vincent Lannoo [2010]
Un film belge, façon documentaire, sur les vampires. Une idée originale traitée avec un humour corrosif mais avec des longueurs. Quelques problèmes sociaux de notre société moderne sont abordés sous un angle politiquement incorrect. Si vous voulez voir Julien Doré en vendeur de cercueils d’occasion, regardez cette carabistouille.
3/6

Town Creek aka Blood Creek de Joel Schumacher [2009]
De l’occultisme émaillé de scènes gores avec, comme méchant, le nazi. C’est facile, on ne peut pas se tromper. Film de genre honorable au scénario certes simple mais à l’ambiance noire (dans un disque blanc sur fond rouge) soutenue.
3,5/6

Surviving Evil de Terence Daw [2009]
Un survival basique filmé en Afrique du Sud, dans la province de KwaZulu-Natal, par un réalisateur de séries TV. En résumé : Réalisation scolaire, scénario banal, maquillage des stremons économique. Et encore avec une fin ouverte. On ne sait jamais, des fois que...
1,5/6

Four Lions aka We Are Four Lions de Chris Morris [2010]
Un film véritablement comique sur un sujet grave : Le terrorisme islamiste. Je suis très dubitatif sur ce premier long métrage de Christopher Morris. Est-ce une cruelle satire de l’aveuglement religieux ou bien une œuvre de propagande contre la religion musulmane ?
3/6

Scream aka Frissons de Wes Craven [1996]
Très bien vieilli.
4/6

Scream 2 aka Frissons 2 de Wes Craven [1997]
Même mouture que le premier opus.
3,5/6

Scream 3 aka Frissons 3 de Wes Craven [2000]
On se lasse juste un peu. L’esprit de dame Agatha Christie plane sur ce film. Pourquoi Dewey qui était handicapé du bras et de la jambe droite dans Scream 2 est atteint du coté gauche dans cette suite ?
4/6

Krabat aka Le Maître Des Sorciers de Marco Kreuzpaintner [2008]
Remake d’un téléfilm de la République démocratique allemande, intitulé "Die Schwarze Mühle", de Celino Bleiweiss et datant de 1975. Ce conte nous plonge dans un microcosme d’adeptes de la magie noire et nous fait passer, sans esbroufe, un agréable moment. D’après un roman éponyme écrit par Otfried Preussler, tenu en Allemagne comme l'un des grands noms de la littérature de jeunesse.
3,5/6

Troglodyte aka Sea Beast aka Carnage En Haute Mer de Paul Ziller [2008]
Vous rêviez de voir une sous-espèce de predator issue des abysses ? Alors, regardez ce téléfilm de Paul Ziller, réalisateur, entre autres, de Yeti - Curse Of The Snow Demon, Avalanche Alley aka La Mort En Blanc et Stonehenge Apocalypse. Trois téléfilms que j’ai eu le privilège de visionner et qui marquent à vie. Un beau, un très beau nanar gore qui tache.
1/6

Detention de Sidney J. Furie [2003]
C’est mou. C’est chiant. C’est épouvantable !
0,1/6

Vu deux fois, (bon samedi, petit ciné club entre amis, on avait téléchargé Bedevilled, et manque de pot décalage de sous titres, j'ai donc fait un choix plus..."fun")

Un bon matin, dans une ville au nom imprononçable, 4 potes et un boulet (au look indescriptible +mulets), se font virer chacun leur tour de leur boulot et de leur logement, sauf l'un d'eux qui gardera son appart qui deviendra donc un squat bordélique. Le chômage c'est pas assez pour vivre! (ils ont raison), ils vont donc aller se plaindre en douceur et se font couper les vivres, mais c'est pas grave car ils décident de ne plus rien payer, la vie est trop chère!
Moi je dis oui! 4/6!!
Alors certainement pas à prendre au premier degrès (si, si certains le font...), ce film ne casse pas trois pattes à un canard, mais c'est tellement con que ça en devient bon. Un bon film de beaufs sur les beaufs (kékés années 90), gags sur gags tout le long, même lorsque le réal préfére casser le rythme en demandant aux persos de nous raconter la suite face caméra, très rigolos (avec un peu d'alcool et des potes à la maison).
4/6, moi je dis oui!

Truck driver !
Honk, honk !