LE CERCLE DES POETES DISPARUS (1990)
3 participants
LE CERCLE DES POETES DISPARUS (1990)
UN FILM DE PETER WEIR
Un scénario de Tom Schulman
Avec Robin Williams (John Keating) – Robert Sean Leonard (Neil Perry) – Ethan Hawke (Todd Anderson)
En 1959, dans la prestigieuse académie Welton, les étudiants triés sur le volet prennent possession de leurs chambres. Le jeune Perry fait connaissance de son compagnon et reçoit la visite inopinée et bruyante de ses amis. L'ambiance se refroidit fortement quand survient le père de celui-ci qui lui ordonne de se retirer du journal édité par les étudiants. Où il avait le poste de rédacteur en chef.
A l'évidence le jeune homme ne fait pas le poids contre son père dont le despotisme et l'étroitesse d'esprit ne cessent de le ronger.
Au cours d'une cérémonie d'introduction à l'année qui s'annonce, le recteur présente à la jeune classe leur nouveau principal, Keating. Le lendemain, ce dernier entre dans la classe en sifflant, souriant et détendu, puis demande à ses étudiants de le suivre dans le hall où dans des vitrines soigneusement entretenues des générations d'académiciens de Welton les contemplent. Ils étaient pareils à deux, ils sont morts. Alors, carpe diem. Vis l'instant présent. Voici le premier cours de l'homme qui se rallie sous captaine, mon captaine, en référence à un poème, évidemment.
Ce film a été un très réel succès, ô combien mérité. Curieusement, lors de sa sortie, j'avais apprécié, certes, mais pas comme avant hier soir, lorsuqe j'ai décidé de le revoir. Il y a un ode au savoir, mais aussi à la connaissance de l'autre, au respect de ses idées et de ses vocations, quelles qu'elles soient. Keating transmet son savoir mais aussi son expérience, et leur prète ses yeux afin qu'ils voient tout ce qu'il y a d'excitant dans ce que l'on fait des cartes que l'on nous donne. Mais on y aborde aussi les aspects sombres de l'humain, et ce que peut détruire une obstination bornée si celui ou celle qui la subit ne puise pas en lui la force nécessaire pour livrer bataille. Un récit admirable qui n'a pas pris une ride.
7 / 6
Un scénario de Tom Schulman
Avec Robin Williams (John Keating) – Robert Sean Leonard (Neil Perry) – Ethan Hawke (Todd Anderson)
En 1959, dans la prestigieuse académie Welton, les étudiants triés sur le volet prennent possession de leurs chambres. Le jeune Perry fait connaissance de son compagnon et reçoit la visite inopinée et bruyante de ses amis. L'ambiance se refroidit fortement quand survient le père de celui-ci qui lui ordonne de se retirer du journal édité par les étudiants. Où il avait le poste de rédacteur en chef.
A l'évidence le jeune homme ne fait pas le poids contre son père dont le despotisme et l'étroitesse d'esprit ne cessent de le ronger.
Au cours d'une cérémonie d'introduction à l'année qui s'annonce, le recteur présente à la jeune classe leur nouveau principal, Keating. Le lendemain, ce dernier entre dans la classe en sifflant, souriant et détendu, puis demande à ses étudiants de le suivre dans le hall où dans des vitrines soigneusement entretenues des générations d'académiciens de Welton les contemplent. Ils étaient pareils à deux, ils sont morts. Alors, carpe diem. Vis l'instant présent. Voici le premier cours de l'homme qui se rallie sous captaine, mon captaine, en référence à un poème, évidemment.
Ce film a été un très réel succès, ô combien mérité. Curieusement, lors de sa sortie, j'avais apprécié, certes, mais pas comme avant hier soir, lorsuqe j'ai décidé de le revoir. Il y a un ode au savoir, mais aussi à la connaissance de l'autre, au respect de ses idées et de ses vocations, quelles qu'elles soient. Keating transmet son savoir mais aussi son expérience, et leur prète ses yeux afin qu'ils voient tout ce qu'il y a d'excitant dans ce que l'on fait des cartes que l'on nous donne. Mais on y aborde aussi les aspects sombres de l'humain, et ce que peut détruire une obstination bornée si celui ou celle qui la subit ne puise pas en lui la force nécessaire pour livrer bataille. Un récit admirable qui n'a pas pris une ride.
7 / 6
Dangercop- Sphinx Terre
- Messages : 381
Date d'inscription : 01/04/2010
Age : 64
Localisation : Paris
Ca donne envie de le revoir, tiens...
J'en garde un plutôt bon souvenir, notamment grâce à la prestation enjouée et fine de Robin Williams.
jefbyos- Satyre vers le bas
- Messages : 56
Date d'inscription : 27/05/2010
Age : 49
Localisation : J'ai un chat dans la gorge
Re: LE CERCLE DES POETES DISPARUS (1990)
Moi aussi, j'ai envie de le revoir depuis un bon moment mais j'ai une VHS et plus de magnétoscope ...
Callahan- Adminotaure
- Messages : 580
Date d'inscription : 30/03/2010
Localisation : Dans ses chaussons
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